Mais les choses changent très vite au B'desh.
J'apprends que deux des filles dont nous nous occupons dans le bidonville de Dahka viennent de perdre un enfant en bas âge.
Vu mon véçu,je suis particulièrement touché.J'ai déjà réalisé,lors de mon dernier voyage,que perdre un enfant au Bangladesh,générait le même traumatisme qu'ici,en Belgique.
Pourquoi y aurait-il une différence?
Alors je me suis mis en tête de faire quelque chose d'innovent pour ces filles.
En gros,je vais chercher une association,peut-être les Soeurs Italiennes de Kulna,qui accepterait de prendre en charge la formation d'une des jeune filles,pour organiser un suivi pré,péri et post natal.
Eric,le copain qui m'accompagne est infirmier,on doit pouvoir s'en sortir avec votre aide....
Merci et merveilleuse année 2010
Pierrot